Réunissons-nous le 1er Mars autour du Orbs Spécial Féminin !

C’est avec grande joie que nous vous proposons de nous retrouver dans la « Vraie Vie » le vendredi 1er Mars, au Pavillon des Canaux, Paris 19eme !

A cette occasion, pour ceux d’entre-vous qui le souhaitent, nous vous proposons lors de cette soirée de repartir en avant première avec votre Orbs Spécial Féminin.

Pour ce faire, merci de nous confirmer votre présence par retour de mail à orbs.specialfeminin@gmail.com


Pour toutes celles et ceux qui ne pourront pas être là : pas de panique 🙂
Votre boîte aux lettres recevra vos ou votre numéro de Orbs Spécial Féminin dans la semaine du 8 mars.

ORBS SPÉCIAL FÉMININ : NOUS SOMMES TOUS ELLE !

Lancement de la revue, rencontre avec l’équipe, dédicaces, librairie et « corner » Orbs à partir de 19h.
DJset « Déesse, Femme et Nature » avec Eric Van Hoecke à partir de 21h30.

〓ENTRÉE LIBRE〓

Cette soirée avant-première inaugure également le festival Pop Meufs, qui se déroulera au Pavillon des Canaux durant tout le mois de mars 2019.

Elle marquer aussi le point de départ de la ORBS WEEKS, une kyrielle de rendez-vous « Orbsiens » : un festival de rencontres, débats, signatures, projections, danses, expos sur l’ensemble du mois de mars 2019…

≡ INFOS PRATIQUES ≡
Le Pavillon des Canaux
39, Quai de Loire – 75019 Paris
tél. : 01 73 71 82 90
Métro : Crimée (7), Laumière (5)

Prenez soin de vous !

On a hâte de vous retrouver et de fêter cette parution de Orbs Spécial Féminin ensemble !

Le financement participatif de Orbs Spécial Féminin est d’ores et déjà une réussite. Il nous reste encore 20 jours pour en faire un festival de beauté, de surprises et d’émerveillement qui réjouira les esprits. On compte sur vous pour rejoindre la ronde, la spirale, puissante et collective. N’attendez plus ! Diffusez, soutenez, partagez cette mise au monde : direction 150 % et au-delà !

Bande-annonce, sommaire, team spirit et premières pages à découvrir en ligne, chez ulule…

fr.ulule.com/orbs-feminin

Bienvenue dans le cercle, la matrice, la spirale, la danse de ce prochain numéro Orbs, l’autre Planète
Ce numéro spécial rassemble des artistes, des scientifiques, des historiennes et des aventurières de la conscience, des auteur.e.s aussi. Tou.te.s tissent une toile de 192 pages inattendues, inspirées et engagées, entremêlant les fils du sacré, du sociétal et du cosmique, et nous invitent à réinventer notre vision du Féminin.

Nous avons besoin de vous pour faire naître Orbs Spécial Féminin ! Si vous êtes au moins 300 Orbsien.ne.s à précommander le Orbs Spécial Feminin, nous pourrons alors lui donner vie !

Faisons-le connaître et exister ensemble !
Les achats en préventes nous aideront à financer 30 % de ce numéro spécial. Le succès repose sur vous et sur la réussite de la campagne de crowfunding. Dès à présent commandez votre numéro et partagez l’information à votre réseau.
>>> https://fr.ulule.com/orbs-feminin/

#OrbsSpécialFéminin
Relions-nous et libérons notre Féminin!
#NousSommesTousElle

Esprit Orbs : Colloque « Les citoyens du monde face aux défis planétaires », les 19 et 20 novembre, à Paris

Le 19 novembre 1948, Garry Davis et Robert Sarrazac interrompent solennellement l’Assemblée générale de l’ONU, qui se tient au Palais de Chaillot à Paris, pour lire la déclaration attribuée à Albert Camus: « Nous, le peuple, nous voulons la Paix que seul un gouvernement mondial peut donner. […] Si vous manquez à cette tâche, écartez-vous, une Assemblée des Peuples surgira des masses mondiales pour bâtir ce gouvernement ». Suite à cet acte fondateur, des milliers de personnes et de territoires se déclarent Citoyens du Monde.

Le 19 novembre 2018, la nécessité d’une « Assemblée des Peuples » est plus évidente que jamais. Seules des institutions démocratiques mondiales pourront répondre aux défis environnementaux, économiques et sociaux qui se posent à l‘humanité.

Des personnalités comme Olivier Giscard d’Estaing, Jean-Marie Cambacérès, l’ancienne Ministre de l’Environnement Corinne Lepage, le philosophe et fondateur des Dialogues en Humanités Patrick Viveret, et la Présidente de Pangee2.00, Nathalie Kesler, se sont rassemblés pour soutenir l’appel des citoyens du monde les 17, 18 et 19 novembre 2018 et le lancement de l’idée de la création d’une “Assemblée des peuples du Monde”, organisant un colloque et une projection de film sur ces thèmes.

LUNDI 19 NOVEMBRE 2018
QUEL AVENIR POUR LA DEMOCRATIE MONDIALE ?
Colloque (volet 1, table ronde et débat), Salle Victor Hugo, Bat. Chaban-Delmas, 101 rue de l‘Université, Paris 7e – sous le parrainage du groupe des Anciens Députés

9 h : Ouverture
9 h 45 : 1 : « Histoire et culture de la citoyenneté mondiale »
11 h 45 : 2 : « Aux Origines de la Citoyenneté Mondiale »
14 h : 3 : « Quel avenir pour la démocratie mondiale, vers de nouvelles Institutions mondiales ? »
15 h 45 : 4 : « Le Rôle des sociétés civiles »
17 h 15 : Clôture du Colloque (Fin 17 h 30)

Au cinéma Les 7 Parnassiens (98, boulevard du Montparnasse 75014 Paris)
Projection du film « Le Monde est ma patrie », en présence des réalisateurs, Arthur Kanegis et Mélanie Bennett, et de Troy Davis (fils de Garry Davis)
Réservation cinéma (10 €) :
https://www.weezevent.com/-1267

MARDI 20 NOVEMBRE 2018
L’EDUCATION A LA CITOYENNETE MONDIALE
Colloque (volet 2, table ronde et débat) à la Maison de l‘UNESCO, 7 place de Fontenoy, Paris 7e – Salle XII

9 h 30 : Discours d‘Ouverture
10 h : 5 : « L‘Éducation à la citoyenneté mondiale »
11 h 30 : 6 : « Vers une Ingénierie de la Paix via l‘interculturailté et le solidarisme » avec la participation de plusieurs délégations citoyennes mondiales
14 h 30 : 7 : « Ingénierie de la Paix et lancement du programme des Assemblées citoyennes mondiales ou Pangées » avec les Délégations
16 h : 8 : « Relever les défis planétaires : enjeux et propositions », échanges entre participants et plan d‘action (Fin 17 h 30)

En savoir plus :
Registre des Citoyens du Monde (Recim)
Pangée 2.0

Dialogues avec l’animal : un premier congrès pour découvrir la communication avec le vivant

Portée par l’association TAAC (The Animal Alliance Channel), la première édition du congrès Dialogues avec l’animal aura lieu à Paris, à la Maison de la Radio, les 6 et 7 octobre 2018.

L’association TAAC, présidée par Romain Brasseau, vise à modifier notre regard sur les animaux, les animaux, le monde et souhaite en particulier mettre en lumière la manière dont « les animaux peuvent humaniser le monde ». Les deux jours de programme de Dialogues avec l’Animal alternera ainsi des tables rondes sur la science de la conscience, la communication avec les animaux, la communication avec les végétaux, la relation entre l’humain et la nature, les nouvelles voies d’éducation et de transmission…

La table ronde scientifique sur la conscience avec les chercheurs Jacques Antonin, Mario Varvoglis, et le journalistes scientifique Jocelin Morisson sera animée par le directeur de Orbs Charles-Maxence Layet.

Des grands témoins tels que Patricia Arnoux qui nous présentera ses années de pratique de la présence de l’animal en prison, Geoffroy Delorme sur la vie parmi les chevreuils, ou encore Fredérique Pichard et ses rencontres avec les dauphins et les baleines. Deux belles journées d’écoute et de questions-réponses pour voir les choses autrement.

Ces personnes qui communiquent avec les animaux nous feront partager leurs expériences et les informations qui leur sont transmises. Celles et ceux qui ont fait appel à ces communicateurs pour résoudre un problème avec un animal, témoigneront des résultats qu’ils ont observés. Des « propriétaires » d’animaux domestiques et d’élevage nous raconteront les répercussions de ces communications sur leur vie.

Les Dialogues avec l’Animal ont vocation à être une caisse de résonance pour toutes celles et ceux dans le monde qui pratiquent et enseignent la communication inter-espèces en la considérant comme un bien accessible à tous.

Programme, inscription : Dialogues avec l’animal

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Après le succès des quatre premières éditions (Oser le bonheur, Résistance-s, Partage-s…), le Festival Chemin Faisant réunit de nouveau des sportifs, associations, conteurs, médecins, citoyen-ne-s, philosophes, ingénieurs, alpinistes, docteur-e-s, et professeur-e-s…qui se rencontrent et expérimentent pour permettre, à travers leurs interventions, de réfléchir, de discuter sur le monde d’aujourd’hui, avec cette année l’Humain de demain au cœur de tous les débats.

L’HUMAIN DEMAIN ?
Pour cette édition 2018, les 19 et 20 mai à Chamonix, le thème retenu est « L’humain demain ? : comment la science nous transforme-t-elle ? De quoi parle-t-on ? Avec la convergence des technologies, notre époque accomplit une transformation radicale des conditions de notre existence. Ce bouleversement entraîne de nombreuses avancées, suscite des espoirs et porte de profondes interrogations : les biotechnologies, l’intelligence artificielle, la puissance exponentielle du Big Data et de ses algorithmes, notre environnement, notre corps, notre esprit, seront-ils pris dans un devenir cyborg ? Quelle sera la frontière entre le vivant et la machine ? La science, au cœur de ce processus de transformation, fait émerger des problèmes éthiques et politiques d’ampleur : qui est responsable lorsqu’une machine agit ? Quelle société voulons-nous ? Pour comprendre de tels enjeux, au-delà des mythologies du pire ou du meilleur, quel monde sommes-nous en train d’inventer pour l’humain demain ?

Scientifiques, philosophes des sciences, sportifs… interviendront sur ces questions fondamentales qui nous impliquent tous. Ils nous inviteront à réfléchir, débattre et agir en notre qualité de citoyens responsables du monde à venir, celui dans lequel nous souhaitons vivre et permettre aux générations futures de pouvoir choisir à leur tour un futur désirable.

Seront présents : Malek Boukerchi, conteur, consultant en accompagnement et développement des stratégies relationnelles dans les entreprises et ultramarathonien des extrèmes, Axel Kahn docteur en médecine, connu pour ses prises de positions sur les questions éthiques et philosophiques en médecine et sur les biotechnologies, Etienne Klein, ingénieur physicien, Florence Piron, professeure à la Faculté de sciences humaines et sociales de l’université de Laval (Québec), spécialiste de la question d’éthique dans les sciences.

LE FESTIVAL CHEMIN FAISANT ?
Le festival Chemin Faisant est une invitation à partager une réflexion sur les changements contemporains qui nous concernent tous. Le rythme tranquille des excursions dans les plus beaux sentiers de la vallée de Chamonix permet d’alterner les interventions de penseurs contemporains, suivies de débats et les discussions entre les marcheurs.
Le festival est gratuit, entierement réalisé par des bénévoles, il se déroule le temps d’un week-end.
Les chemins sont accessibles au plus grand nombre (notamment aux personnes handicapées), et le festival Chemin Faisant s’engage dans la préservation des sites qui l’accueillent et met en place des partenariats avec les acteurs locaux.

Dans les éditions précédentes, nous étions accompagnés dans notre « réflexion en marche » par des philosophes (Marc Tirel, Gilles Yovan…), des économistes (Ricardo Petrella, Patrick Viveret…), des chercheu-r-se-s (Claire Brossaud…), des musiciennes (Julie Gros, Jeanne-Marie Conquer), des associations (Les Colibris, La Fondation Nicolas Hulot, les Convivialistes, l’Institut des Futurs Souhaitables, Dialogues en Humanité, le Conseil National de la Résistance…), des citoyens qui expérimentent de nouvelles façons de créer, de produire, de vivre leur quotidien, des agriculteurs, des scientifiques, des vacanciers, des chercheurs, des promeneurs, des curieux…

Tout au long d’une journée, nous alternons balades (faciles, sans grand dénivelé, de 20 minutes à une heure) et dialogues dans des lieux particulièrement inspirants, en pleine nature. Trois ou quatre intervenants proposent une réflexion ou un point de vue personnel, suivi d’un dialogue très ouvert avec l’ensemble des participants qui se poursuit en marchant avec des pauses joyeusement gustatives.

Le festival c’est aussi :
– deux livres tirés des précédentes éditions du Festival « Le bonheur en marche » et « Vivement le monde à venir »
– la rencontre entre Edgar Morin, Nicolas Hulot et Patrick Viveret en 2015 à la Gaîté Lyrique à Paris, en partenariat avec l’Institut des futurs souhaitables
– l’Université du bien commun à Paris, cofondé suite à la 4ème édition du festival qui organise tous les mois des conférences-débats

Toutes les informations et tous les rendez-vous sur
www.festivalcheminfaisant.com
https://twitter.com/festchemfaisant
https://www.instagram.com/festivalcheminfaisant/?hl=fr

Contact presse : malika.person@yahoo.fr
Pour toute information supplémentaire sur les éditions passées, les
partenariats ou sur notre festival : corinneducrey@wanadoo.fr

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C’est un projet démesuré et totalement fou. L’aboutissement de 10 ans de travail obstiné, de techniques photographiques dernier cri et de transhumance sur le toit du monde. Il, lui, c’est Thomas Laird, photographe et écrivain qui explore la culture du Tibet depuis 1972 et engagé depuis 2008 à garder la trace des plus anciens chefs-d’oeuvre de l’art tibétain : des fresques parfois millénaires mais photographiées taille réelle, à l’aide de la technique dite de « l’exposition multiple », technique numérique qui permet un éclairage uniforme de ces fresques saisies grandeur nature.

Le résultat de ce dévouement est un ouvrage spectaculaire et hors norme : Murals of Tibet. Une somme, un « sumo book » comme le qualifie l’éditeur Taschen qui sait imaginer et réaliser ce type de projet. Un livre d’images de 23 kilos et 498 pages qui, déployé, offre une surface d’un mètre de large pour 70 cm de hauteur. Chacun des 998 exemplaires de cette édition collector est signé par le 14e Dalai-Lama et vendu 10 000 € avec son lutrin réalisé en carton et plateau en bois conçu par l’architecte Shigeru Ban, lauréat du prix Pritzker et pionnier de l’hébergement d’urgence. Un ouvrage explicatif complémentaire de 528 pages revient sur les coulisses de cette aventure photographique exceptionnelle et aide le lecteur, à l’aide de textes et de légendes détaillées, a resituer ces œuvres dans la spiritualité du bouddhisme tibétain.

A LA CROISEE DU LIVRE SACRE ET DE L’HISTOIRE DE L’ART
Murals of Tibet est pensé comme un pélerinage, « un voyage géographique qui part de Drathang et passe par les principaux sites monastiques du centre et de l’ouest du Tibet, au-delà des reliefs sacrés du mont Kailash (…) ordonné selon un parcours qu’auraient pu emprunter des pèlerins ». La date de fondation de chaque temple et de chaque site religieux, des lieux majeurs tels que le Jockhang, qui contient la première image de Bouddha apportée au Tibet, le Palais du Potala, le Kumbum de Gyantse inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, ou encore le Monastère de Samyé, premier monastère bouddhique du Tibet édifié vers 779, est indiqué.
« L’art mural in situ du Tibet est considéré comme un enseignement spirituel direct et non comme une simple curiosité artistico-historique. Les fresques anciennes sont donc régulièrement restaurées pour assurer que le message que véhicule leur composition demeure visible des croyants » rappelle le dossier de presse du projet, qui précise qu’au Tibet, « les fresques couvrent souvent des murs entiers, mais il arrive qu’elles n’occupent qu’un modeste pan de mur dans une chapelle ». Ou dans une grange, comme le montre certaines images parmi celles présentes dans le livre explicatif contenant des textes les légendes détaillées.

UN CADEAU VISUEL POUR L’HUMANITE ET LES GENERATIONS FUTURES
Ce trésor patrimonial, archive visuelle d’un grand pan de la mémoire culturelle de l’humanité, est aussi un cadeau légué au regard des générations futures. L’éditeur en a d’ailleurs bien conscience. Soucieux de respecter cet ouvrage au message hors norme, Taschen a formé ses équipes aux lois du Karma et du Dharma, multiplié les rencontres avec les plus grands tibétologues, et invitant les visiteurs, dans ses boutiques où le livre est exposé sur son lutrin, à le toucher, tourner les pages et s’émerveiller de la vision de ces images uniques au monde, désireuse de partager avec le plus grand nombre un objet livre dont la possession est tout d’abord réservée aux plus fortunés.
J’ai pu ainsi, moi-même, faire l’expérience de feuilleter Murals of Tibet, contemplant ces trésors d’un autre âge et admirant le souci du détail de ces peintures sacrées, « tangka » dont les détails somptueux rejoignent la minutie de nos meilleurs enlumineurs. La puissance d’immersion de cette rencontre directe avec ces images jamais vues ou presque, constitue un voyage indicible et bouleversant. Vite, à votre tour maintenant, n’attendez plus pour vous laisser subjuguer par ce sublime « sumo » posé, ouvert, entre terre et ciel. Une expérience marquée d’une gratitude infinie.

Murals of Tibet, Thomas Laird, Editions Taschen, 498 pages
Visible à TASCHEN, 2 rue de Buci, 75006 Paris

« Alliance entre la technologie de la photographie contemporaine et les traditions millénaires, ce livre est à la fois une somptueuse œuvre d’art, un document qui fera date dans la compréhension du bouddhisme, un précieux monument élevé à la culture tibétaine et une source essentielle pour les sciences et les arts contemplatifs. » TASCHEN

Photos © Thomas Laird, 2018/TASCHEN, Murals of Tibet
Photo de Tenzin Gyatso 14e Dalai Lama, Mina Magda © TASCHEN

Accompagnons cette date symbolique d’une splendide video de la Terre vue de l’Espace , une video du projet Blueturn co-réalisée par l’ami Jean-Pierre Goux (cf Orbs 1, Un fil d’or) et obtenue depuis le satellite DSCOVR de la NASA, situé au point de Lagrange L1 à 1.5 millions de km. Et aussi de quelques mots, ceux de la Déclaration d’Interdépendance rédigée en 1992, il y a plus de 25 ans maintenant, à la veille du Sommet de la Terre de Rio. Ce joyau, cette petite bille bleue, c’est notre Terre. Protégeons là !

DECLARATION D’INTERDEPENDANCE

CE QUE NOUS SAVONS
Nous sommes la Terre, par les plantes et les animaux
qui nous donnent notre nourriture.
Nous sommes les pluies et les océans qui coulent
dans nos veines.
Nous sommes le souffle des forêts et les plantes de la mer.
Nous sommes des animaux-humains, reliés à toute vie,
descendants de la cellule primordiale.
Nous partageons l’histoire de cette famille des vivants,
inscrite dans nos gènes.
Nous partageons le présent, qui mine l’incertitude.
Nous partageons l’avenir, qui reste à inventer.
Nous ne sommes qu’une espèce parmi les trente millions
qui tissent ce mince voile de vie enveloppant
la planète.
La stabilité des communautés vivantes dépend
de cette diversité.
Nous sommes les maillons des cette chaîne,
consommant, purifiant, partageant et renouvelant
les éléments fondamentaux de la vie.
Notre demeure, la planète Terre, ne peut fournir
des ressources infinies, toute vie partage
les richesses de la Terre et l’énergie du Soleil
et ne peut donc connaître une croissance illimitée.
Pour la première fois, nous avons atteint les limites
de cette croissance.
Quand nous mettons en péril l’air, l’eau, le sol
et la diversité de la vie, nous volons l’infini à l’avenir
pour satisfaire un présent éphémère.

CE QUE NOUS CROYONS
Nous, humains, sommes désormais si nombreux et nos
outils sont si puissants que nous avons causé l’extinction
d’espèces sœurs, condamné les grandes rivières,
abattu des forêts vénérables, empoisonné la terre,
la pluie et le vent, et percé des trous dans le ciel.
Notre science nous a apporté douleur emmêlée
de joie; la souffrance des multitudes est le prix
de notre confort.
Nous apprenons de nos erreurs, nous pleurons
nos frères et sœurs disparus et nous bâtissons
maintenant une nouvelle politique de l’espoir.
Nous proclamons le droit absolu de tous à la pureté
de l’air, de l’eau, du sol.
Nous jugeons inacceptables les activités économiques
qui bénéficient à quelques-uns en dilapidant
le patrimoine du plus grand nombre.
Et puisque la dégradation de l’environnement érode
à jamais le capital biologique, toutes les équations
de développement doivent tenir compte des coûts
sociaux et écologiques.
Nous ne sommes qu’une génération dans la longue
marche du temps, nous n’avons pas le droit d’effacer
l’avenir.
Là où notre connaissance est incomplète, nous penserons
à tous ceux qui marcheront après nous, et nous
pécherons par excès de prudence.

CE A QUOI NOUS NOUS ENGAGEONS
Faire désormais de ce que nous savons
et de ce que nous croyons le fondement
de notre façon de vivre.
À ce point tournant de notre relation avec la Terre,
il nous faut évoluer
de la domination vers le partenariat,
de la fragmentation vers la connexion,
de l’insécurité vers l’interdépendance.

Déclaration d’Interdépendance composée par David Suzuki et un groupe de militants à la veille du Sommet de la Terre, tenu sous l’égide des Nations Unies à Rio de Janeiro en 1992.

Conférence co-organisée par la revue Orbs et l’Entrepôt, dans le cadre du Cycle de l’eau, une série de conférence organisée à l’occasion de la parution du numéro thématique Orbs Spécial Eau.

Les rapports de domination entre la France et l’Afrique n’ont guère changé depuis l’époque des colonies. A chaque élection présidentielle, les candidats à l’Élisée annoncent qu’une fois au pouvoir, ils signeront l’acte de décès de la Françafrique. Sauf qu’une fois sous les ors de la République, ils oublient leur promesse et s’empressent de perpétuer un système profondément néfaste au continent africain (du moins à sa partie francophone) : soutien aux potentats locaux qui, en retour, financent abondamment la vie politique hexagonale, prédation des matières premières, paternalisme à peine déguisé…

L’idée de cette conférence est de s’intéresser à la Françafrique, certes, mais dans l’un de ses aspects particulièrement méconnu : l’eau. Comment, depuis un demi-siècle, le contrôle de l’eau en Afrique est-il un enjeu géostratégique non seulement pour les africains, mais aussi pour cet ancien colonisateur qu’est le « pays des Droits de l’Homme » ? Comment des multinationales françaises se sont-elles accaparées les ressources hydriques ou contrôlent-elles les principaux ports du continent, servant souvent des intérêts contraires aux populations ? Comment des projets écologiques comme celui de renflouer le lac Tchad prennent-ils une dimension politique et potentiellement conflictuelle ? Les réponses apportées à ces questions prouveront que non, définitivement non, la Françafrique n’est pas morte.

Thomas Dietrich est écrivain, et ancien secrétaire général de la Conférence nationale de santé (CNS). Haut-fonctionnaire, diplômé de Sciences-Po Paris, il a vécu et travaillé dans plusieurs pays africains, qui lui ont donné d’ailleurs le cadre de ses premiers romans : « Là où la terre est rouge » (Albin Michel, 2014) et « Les enfants de Toumaï » (Albin Michel, 2016). Il a également signé « Le drame de l’eau au coeur de l’Afrique » dans Orbs Special Eau.

La conférence aura lieu jeudi 26 avril de 19:30 à 21:30,
à L’entrepôt, 7/9 rue francis de pressensé, 75014 Paris
Participation aux frais : 10 euros

ConfFrancafriquedel'eau

Offrir un tour d’horizon des grandes traditions ésotériques et des principaux adeptes de la philosophie occulte, à compter de l’an mille jusqu’à nos jours, tel est le projet monumental de ce nouvel ouvrage de la collection Bouquins, signé de l’essayiste et romancier Jean-Jacques Bedu, spécialiste des hérésies médiévales.

« LA MULTITUDE DES SAGES EST LE SALUT DU MONDE »
Alchimistes, Hermétistes, Brahmanes, Chamanes, Soufis, Kabbalistes, Magiciens blancs et noirs, Prophètes, Illuminés, Thaumaturges, Spirites, Médiums, Francs-Maçons, Rose-Croix, Gnostiques, Martinistes, Théosophes, Messagers de la Tradition primordiale… De Francis Bacon à Gérard de Nerval, de Lanza del Vasto à l’émir Abdelkader, Leonard de Vinci, Rabelais, William Blake, Rudolf Steiner, des quêtes indiennes de Steve Jobs à Krishnamurti, ou encore Robert Fludd qui écrivait sous la dictée de Dieu, Louis Massignon l’orientaliste visionnaire ou la formule mathématique de l’univers de Josef Wronski, de l’art de la mémoire de Giordano Bruno à la mystique chrétienne de Hildegarde de Bingen, de l’illuminisme à la naissance de l’ésotérisme, des sociétés secrètes aux sommets de l’Agartha, autant de parcours exceptionnels, de doctrines et de personnages rassemblés dans ce grand dictionnaire chronologique de près de 1200 pages, fascinant et identique à nul autre, tissant les fils d’une grande histoire occulte du monde.

Tous ces dépositaires ont en commun d’avoir fait l’expérience du mystère du monde, perpétuant, chacun selon ses convictions, des paroles de vérités cachées.

« AU LIEU DE CHERCHER CE QUE VOUS N’AVEZ PAS, TROUVEZ CE QUE VOUS AVEZ PERDU » Nisargadatta

« L’initiation est un état d’illumination, qui n’appartient ni à la révélation, ni au domaine de l’expérimentation, et auquel parviennent des femmes et des hommes par le biais d’un intuition, sans laquelle aucune civilisation n’aurait existé » résume Jean-Jacques Bedu.

Magistral et initiatique lui-même, cet ouvrage est assurément l’un des plus importants du 21e siècle. « Etre initié, c’est mourir » a dit Platon. Mais si, comme le propose Villiers de l’Isle-Adam, nul n’est initié que par lui-même, la lumière du feu des connaissance et de l’illumination ne nous fait en réalité que mourir à nous-même et notre propre ignorance. Et si, finalement, savoir permettait de mieux vivre ? De vivre présent et réconcilié à la plénitude du Soi ?

Les initiés, de l’an 1000 à nos jours, de Jean-Jacques Bedu, 1186 pages, Coll. Bouquins, Robert Laffont


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