La revue belge Imagine demain le monde signe une tribune « Eloge de la Slow Press » sur #Reporterre
« Cette presse a choisi de ralentir, de prendre le temps, de questionner, d’investiguer, de rapporter et de raconter le monde comme il est et, surtout, comme il devient. Avec rigueur et discernement, passion et obstination, recul et humanité, hors des sentiers battus.
Ils s’appellent Reporterre, XXI, Médiapart, Socialter, Orbs, Kaizen, Bastamag !, Silence, L’Âge de faire, et on en passe. Sur papier ou en ligne, adeptes d’un journalisme au long cours à la fois vivant et construit, ces médias alternatifs, par-delà leurs différences éditoriales (une ligne tantôt fondée sur la dénonciation, tantôt sur le récit, le reportage ou la mise en avant d’alternatives), partagent une même envie commune : servir l’intérêt général, traquer les injustices, accompagner les transformations du monde, etc. »
https://reporterre.net/Eloge-de-la-slow-press
#Orbs #Reporterre #Imagine
Orbs partenaire du colloque « Plantes et Savoirs » organisé le samedi 22 avril à la Halle Pajol (Paris 18) par l’association Plante et Planète. Le thème cette année est « S’épanouir dans l’action responsable » donnera lieu à différentes tables-rondes autour d’actions inspirantes et responsabilisantes. Une journée accessible à tous, engagés ou en chemin, connaisseurs des plantes ou novices, scientifiques, artistes…
Ce colloque s’inscrit dans la deuxième édition des Rencontres Internationales « Plantes et savoirs, dialogue des 5 continents » du 18 au 28 avril 2017. Ces rencontres permettent d’instaurer un dialogue entre acteurs de terrain venus du Pérou, du Gabon, de Malaisie, des Îles Hawai’i et bien sur de France et d’autres pays européens.
Le réalisateur Georges Combe (Le Voyage Alchimique)
poursuit son exploration des grands mystères
Une extraordinaire enquête sous la terre pour découvrir d’inimaginables souterrains.
Un réseau très ancien, à l’incroyable structure géométrique.
On a appelé ces galeries : « les arêtes de poisson ».
Personne n’a pu percer le secret de cette construction, dont les bâtisseurs et la fonction restent inconnus.
Pourtant ces souterrains sont à quelques dizaines de mètres, sous nos pieds,
à l’intérieur de la colline de la Croix-Rousse, à Lyon.
Ces galeries ne furent «officiellement» découvertes qu’en 1959.
La spécificité de Lyon était là, sous la terre, et ne demandait qu’à être dévoilée.
Lyon était la capitale d’un monde invisible, hors de temps et de l’espace.
Les galeries, comme de gigantesques tentacules, étendaient leur bras sur la terre entière et même au-delà…
Vendredi 21 avril à 20h30, au Cinéma Étoile Palace, Vichy
Projection en présence de réalisateur Georges Combe et du journaliste Stéphane Grobost, spécialiste du cinéma symbolique.
C’est une petite ardoise médiévale de 20 cm de large. « Ce n’était pas la première que nous trouvions » se rappelle Gaetan Le Cloirec, archéologue à l’Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP). « Mais celle-ci nous est apparue très particulière : en étudiant ces graffitis de près, nous avons vu que cette plaque de schiste comportait… une partition musicale ! »
Quatre lignes de notes en forme de losange qui permettront d’identifier un chant grégorien du XVe siècle, décrypté par Dominique Fontaine, une soprano spécialiste des musiques religieuses anciennes, explique Sciences et Avenir dans l’article consacré à cette belle découverte.
« Si l’on considère que la mélodie est complète, il s’agit d’une partition dite en mode « La éolien », une forme relativement tardive dans la musique religieuse européenne » poursuit la cantatrice qui a reconstitué ce chant, divulgué le 15 mars 2017 et à écouter en ligne.
Deux copains d’enfance, l’un travaillant à New York au coeur d’une grande entreprise exportatrice d’eau en bouteille, l’autre réalisateur indépendant, se retrouvent et partent à la rencontre de pionniers, de grands témoins engagés dans l’économie, l’environnement, le politique, la santé? Au fil de leurs pérégrinations en France, avec Pierre Rabhi, Frédéric Lenoir ou le journaliste Hervé Kempf ; en Inde auprès de Vandana Shiva et de Salish Kumar ; aux États-Unis aux côtés de l’astrophysicien Trinh Xuan Thuan, du professeur de biologie moléculaire Bruce Lipton. En Amérique du Sud, des prises de conscience s’instaurent, graduelles mais radicales. Il aura fallu six ans de tournage et 19 versions du montage pour aboutir à ce superbe voyage sur le changement en marche. Initiatique et généreux.
En quête de sens, un film de Marc de la Minaudière et de Nathanaël Coste, sorti en 2015, à voir en ligne jusqu’au 23 avril
La Terre est-elle surpeuplée ? Les robots travailleront-ils à notre place ? Faut-il avoir peur des Chinois ?
Cet atlas prospectif, composé par une kyrielle de spécialistes, explore notre avenir et ses questions. Ses pages, au fil de thèmes comme le vieillissement, la santé, les monnaies, la pêche, la rareté des ressources naturelles, donne la mesure des futurs impacts de nos modes de vie, soulignant les dynamiques, les crises, les nouveaux modèles économiques, les utopies et les croyances qui façonnent, ensemble, ce que sera le monde dans 25 ans.
Les tendances sont là, à nous de voir si nous souhaitons les laisser advenir. Une iconographie décalée, décoiffante, éclaire cet ouvrage remarquablement compréhensible, le dernier projet du géographe Jean-Christophe Victor, l’homme du programme Le Dessous des Cartes – 1 000 épisodes diffusés sur Arte – qui nous a quitté en décembre 2016.
2038, Les futurs du monde, de Virginie Raisson, avec Jean-Christophe Victor, Jean-Pierre Goux, et de nombreux autres spécialistes, Robert Laffont, 30 €
Orbs radio : une nouvelle émission de « Et si on changeait d’art » est disponible, consacré aux visages du Golem et son actualité, avec la chercheuse Ada Ackerman, chercheuse au laboratoire Théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité (THALIM) du CNRS et co-commissaire de l’exposition « Golem, Avatars d’une légende d’argile », à découvrir à Paris jusqu’au 16 juillet 2017
Le Golem, être artificiel animé à l’aide de lettres sacrées hébraïques tracées sur son front, est un thème majeur des légendes juives et de la littérature fantastique. Explorer les multiples dimensions de ce mythe et ses résonances contemporaines, tel est le projet, captivant et magistralement mené, de l’exposition « Golem ! Avatars d’une légende » qui a débuté ce mois-ci au musée d’art et d’histoire du Judaïsme (mahJ), à Paris.
Alcôves après alcôves, cette plongée réussie dans l’univers du Golem prend la démarche d’une immersion transmedia. Combinant littérature, théâtre, peinture, mais aussi sculpture, cinéma, bandes dessinées et jeux video, cette sarabande plurielle de plus de 130 œuvres sur le Golem, à la fois inédite et profonde, en saisit les puissantes ramifications et son imposante actualité dans la culture populaire : du mythe de la Génèse au désir transhumante.
De Metropolis à Terminator, mais aussi Ghost in the Shell et la série télévisée Real Humans, les mises en scène du XXe siècle ont marqué la consécration du Golem dans l’imaginaire des foules. Ces visions illustrées puis animées, d’une créature rudimentaire et hybride, muette et sans âme, ont introduit l’un des premiers monstres du cinéma, un être artificiel façonnant profondément et durablement les esprits et l’imaginaire visuel.
« Golem ! Avatars d’une légende d’argile ». Exposition à découvrir jusqu’au 16 juillet 2017, au mahJ (musée d’art et d’histoire du Judaïsme), 71 rue du temple, 75003 Paris.
Une émission proposée et animée par Charles-Maxence Layet, avec la revue Orbs, disponible sur Btlv.fr
À l’attention de celles et ceux qui désirent en savoir plus sur l’histoire de la médecine, de ses origines à sa masculinisation, jusqu’à la fin du XXème siècle, ce texte féministe et bien documenté a été rédigé à une époque, les années 1970, où l’on commençait tout juste à s’approprier son corps.
Etait qualifiée de sorcellerie, jadis, cette médecine empirique, basée sur une connaissance transmise hors des livres et généralement exercée par des femmes seules, en marge de la société. Dès lors que la médecine s’embourgeoise et devient une activité exclusivement masculine, réservée à ceux qui auront les moyens de s’offrir l’accès aux études de la médecine, les chasses aux sorcières embrasent l’Europe et les Etats-Unis.
Depuis, les femmes ont pu retrouver un accès à la profession, mais dans quelles conditions ? Elles ne sont toujours que les subalternes de ces messieurs, généralement reléguées au statut d’infirmière, d’aide soignante…
Sorcières, sages-femmes et infirmières : Une histoire des femmes soignantes de Barbara Ehrenreich et Deirde English, Éditions Cambourakis, 16 euros
Le réalisateur Georges Combe (Le Voyage Alchimique)
poursuit son exploration des grands mystères
Une extraordinaire enquête sous la terre pour découvrir d’inimaginables souterrains.
Un réseau très ancien, à l’incroyable structure géométrique.
On a appelé ces galeries : « les arêtes de poisson ».
Personne n’a pu percer le secret de cette construction, dont les bâtisseurs et la fonction restent inconnus.
Pourtant ces souterrains sont à quelques dizaines de mètres, sous nos pieds,
à l’intérieur de la colline de la Croix-Rousse, à Lyon.
Ces galeries ne furent «officiellement» découvertes qu’en 1959.
La spécificité de Lyon était là, sous la terre, et ne demandait qu’à être dévoilée.
Lyon était la capitale d’un monde invisible, hors de temps et de l’espace.
Les galeries, comme de gigantesques tentacules, étendaient leur bras sur la terre entière et même au-delà…
Projection exceptionnelle, en présence du réalisateur Georges Combe, du chercheur Walid Nazim, et des journalistes Stéphane Grobost et Charles-Maxence Layet de la revue Orbs, l’autre Planète.
L’Entrepôt : 7 rue Francis de Pressensé 75014 Paris – M°Pernety
Mardi 22 novembre à 19h45
Renseignements : 01 45 40 64 75
animation@lentrepot.fr – www.lentrepot.fr
Entrée : 10€ – Réduit : 7€
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Global Gaïa #01
MEXIQUE, Les Enfants du Soleil
Programme
In lakesh’ : je suis un autre toi
Contes en musique par Patrick Fischmann
« Il est un monde sacré où l’homme se sait l’enfant du temps, le frère de l’animal et des pierres, le fils de l’Arbre. » La symbolique des Mayas et des Aztèques nous plonge au coeur d’univers à la fois exotiques et actuels. En voyageant avec la déesse au jupon d’étoiles, en assistant aux mariages d’humains et d’animaux étranges, en suivant le guerrier pacifique, nous jouons notre propre partie dans le mouvement prédestiné des astres.
A travers ses rencontres avec les Mongols, les Indiens d’Amérique du Nord, les Kogis, les Touaregs, Patrick Fischmann réveille et rassemble des contes du monde entier. Conteur, chanteur, musicien, écrivain, Patrick Fischmann a fondé le Théâtre du Vivant, publié des livres de mythologie, enregistré des contes musicaux et signé treize titres dans la belle collection des Contes des sages, au Seuil.
À la découverte des Huastèques
Conférence par Sophie Marchegay
Moins connues que les Mayas et les Aztèques, les Huastèques (ou Huaxtèques) sont apparus il y a 3500 ans au Nord-Est du Mexique. Sculptures, céramiques, parures, tatouages, scarifications, déformation du crâne, textiles d’aujourd’hui… comprendre les modes de vie et les savoirs de ce peuple organisé en cités-états indépendantes, c’est partir à la rencontre de la Déesse Mère et des vieux dieux voutés, symboles du culte de la fertilité des Huastèques. C’est plonger dans l’univers envoûtant de l’une des civilisations précolombiennes les plus mystérieuses qui a survécu aux conquêtes aztèques et espagnoles.
Sophie Marchegay, directrice du musée de Préhistoire des gorges du Verdon, a vécu 10 ans au Mexique. Archéologue et conservatrice, elle est également lacommissaire d’exposition de « Huaxtèques, peuple méconnu du Mexique précolombien », la première exposition consacrée à la civilisation huastèque en Europe, visible à Quinson (04) jusqu’au 30 novembre 2016.
Les tableaux Huichol : un art entre les mondes
Conférence et présentation d’oeuvres par Elvire Clev
On les appelle Huichol. Ce peuple d’indiens, près de 45 000 personnes de nos jours, s’est réfugié dans les montagnes arides de l’Ouest mexicain lors de l’invasion espagnole. Surtout connue en Occident pour leurs tableaux de fils colorés collés avec de la cire d’abeille appliquée sur du bois, la tradition Huichole, toujours vivace et d’une beauté saisissante, mêle pratique chamanique, cérémonies collectives et artisanats sacrés.
Graphiste et éditrice de profession, s’intéressant à toutes les pratiques chamaniques, Elvire a été initiée en 2008 à la technique des tableaux de fils par un maraka’ame (chamane) Huichol. Son travail artistique, ses visions de grenouilles multicolores et de serpents hypnotiques, nous amènent dans le monde sacré du Peyotl.
De nouvelles perspectives sur les pyramides et le calendrier Maya
Conférence par Howard Crowhurst
L’orientation, les rapports de positionnement et les dimensions des pyramides Mayas révèlent des propriétés mathématiques qui défient le sens commun. Ces monuments de pierre colossaux, construits il y a plusieurs milliers d’années, présentent des angles et des rapports de proportion en résonance avec des constantes planétaires, tout comme le temps long du calendrier Maya lui-même. Ces découvertes, reliées ensemble pour la première fois, donnent une nouvelle vision de l’étendue du savoir des Mayas.
D’origine britannique, Howard Crowhurst vit près de Carnac depuis plus de 25 ans et étudie les mégalithes à l’aide du quadrivium, une science antique composée de quatre matières : l’astronomie, les mathématiques, la géométrie et l’harmonie. Musicien, formateur et conférencier, Howard Crowhurst est l’auteur de 8 ouvrages en français et dirige également Epistemea, une société d’édition de livres et de production de films documentaires.
Initiation au Yok’Hah Maya,
Pratiques par Franck Echardour
Issue de la connaissance sacrée et des pratiques cachées des anciens Mayas, le Yok’Hah Maya permet la croissance personnelle et affine les capacités innées, grâce à une discipline physique (postures/mantras), mentale et spirituelle traditionnelle. Le Yok’Hah Maya est aussi un chemin holistique qui offre une plus grande harmonie avec les cycles de la Terre Mère, du Père Soleil et du Cosmos.
Franck Échardour est enseignant spirituel, coach holistique, conférencier. Passeur de mystères depuis 1993, il accompagne les personnes et les groupes vers une ouverture de conscience afin de retrouver l’Unité. Il retransmet la sagesse et la connaissance des anciens Mayas en diffusant le Yok’Hah Maya.
Femmes-médecines, pratiques et pharmacopée traditionnelles mexicaines
Conférence par Claire Laurant-Berthoud
Herboristes, rebouteuses, guérisseuses, indiennes, métisses, descendantes de colons, urbaines, rurales, migrantes petites-filles ou nièces de thérapeutes, la pratique des sages-femmes mexicaines traditionnelles est à la confluences d’héritages culturels variés, mélangeant la connaissance des plantes de la pharmacopée aztèque, aux principes de la médecine hippocratique venue des espagnols.
Claire Laurant-Berthoud est ethno-botaniste et Docteur en anthropologie, spécialiste du rôle des sages-femmes traditionnelles dans la société mexicaine. Elle travaille comme responsable de Recherche et Développement dans un laboratoire pharmaceutique français expert en formulation 100 % naturelles à base de plantes médicinales.
Un goûter mexicain vous sera offert lors d’un moment de pause au cours de l’après-midi !!
INFORMATIONS PRATIQUES
Dimanche 30 octobre, de 14h à 19h
Théâtre Adyar, 4 square Rapp, 75007 Paris
Accueil à partir de 13h30, début des conférences à 14h.
Métro : Ecole Militaire (ligne 8) ou Alma Marceau (ligne 9)
Bus : 42 – 63 – 69 – 80 – 81 – 92
RER C : Pont de l’Alma
Tarif : 60€ – Tarif réduit : 55€
Venez à deux et faites des économies ! Tarif Duo : 100€ (pour 2 places)
Réservation des places www.weezevent.com/global-gaia-mexique